PoÚmesur le ProphÚte titre : Le majestueux. écrit par Cheikh Mohamed Abdallah Thiam Sope Nabi president de la fondation keur Rassoul Auteur du livre le

Écrire un poĂšme pour Ă©numĂ©rer les qualitĂ©s de notre ProphĂšte salla l-Lahou ^alayhi wasallam est un acte mĂ©ritoire. Les compagnons en Ă©crivaient et le ProphĂšte ^alayhi s–salatou wassalam les Ă©coutait. A travers les siĂšcles et depuis l’avĂšnement de notre ProphĂšte bien-aimĂ© Mouhammad, plusieurs poĂšmes ont Ă©tĂ© Ă©crits pour le louer. Écrire un poĂšme pour Ă©numĂ©rer les qualitĂ©s de notre ProphĂšte salla l-Lahou ^alayhi wasallam est un acte mĂ©ritoire. Les compagnons en Ă©crivaient et le ProphĂšte ^alayhi s–salatou wassalam les Ă©coutait. A travers les siĂšcles et depuis l’avĂšnement de notre ProphĂšte bien-aimĂ© Mouhammad, plusieurs poĂšmes ont Ă©tĂ© Ă©crits pour le louer. PoĂšmes sur le ProphĂšte Mouhammad Chers internautes, Nous tenons Ă  vous remercier pour les nombreux poĂšmes manifestant votre amour pour le bien-aimĂ© ProphĂšte Mouhammad. Certes, l’amour du ProphĂšte perdure dans le cƓur des croyants et vos poĂšmes en tĂ©moignent. Nous avons choisi un de vos poĂšmes, qui nous a particuliĂšrement touchĂ©, pour le publier sur notre site par amour du ProphĂšte Mouhammad salla l-Lahou ^alayhi wa sallam. DĂ©couvrez ses magnifiques vers Ô Mouhammad mon bien-aimĂ©, Je pose sur ma feuille ces quelques mots qui me viennent, Pour te tĂ©moigner mon amour, dans ce poĂšme. Je ne sais pas si je trouverai les phrases, si je trouverai les termes, Pour exprimer Ă  quel point, mon bien-aimĂ©, je t’aime. Ô Mouhammad mon bien-aimĂ©, Je peux au moins te dire, Que d’un grand amour et d’un grand respect pour toi Mon cƓur est rempli. Et qu’au point parfois d’en gĂ©mir, D’ĂȘtre auprĂšs de toi Si fort, je me languis. Ô Mouhammad mon bien-aimĂ©, Par la grĂące de Allah, une nuit de toi j’ai rĂȘvĂ©. Tu Ă©tais tel que les compagnons te dĂ©crivaient. A mon rĂ©veil, deux sentiments en moi se mĂȘlaient, Le bonheur de t’avoir vu, et la tristesse, car si fort dĂ©jĂ  tu me manquais. Ô Mouhammad mon bien-aimĂ©, Dans mon rĂȘve, en moi-mĂȘme je me disais, Quelle chance et quel bonheur les compagnons ont vĂ©cu ! D’avoir eu l’honneur d’ĂȘtre Ă  tes cĂŽtĂ©s. Quelle chance et quel bonheur les compagnons ont connu ! De contempler ta splendeur et de t’écouter parler. Ô Mouhammad mon bien-aimĂ©, Dans mon rĂȘve, je te voyais, Si serein et si modeste, Toi la crĂ©ature la plus Ă©levĂ©e en degrĂ©s. Dans mon rĂȘve, je me disais, Il est certes le meilleur de l’humanitĂ©, Meilleur que toutes les crĂ©atures terrestres et cĂ©lestes. Ô Mouhammad mon bien-aimĂ©, Dans mon rĂȘve, je t’écoutais et je me disais ; Ta parole est si belle, Que l’on ne pourrait s’en lasser. Tes conseils sont si empreints de sagesse, Qu’il est si facile de t’écouter. Ta compagnie est si agrĂ©able, Qu’elle est la plus recherchĂ©e. Ô Mouhammad mon bien-aimĂ©, Je t’aime d’un amour immense et sincĂšre, Et par ton degrĂ©, je demande Ă  Dieu qu’Il m’accorde la piĂ©tĂ©. Ô Mouhammad mon bien-aimĂ©, Ton enseignement dans ce bas-monde est une lumiĂšre. Je veux suivre ton chemin jusqu’au jour oĂč mon Ăąme, de mon corps, sera sĂ©parĂ©e.
Maisune condamnation militaire par le commandement d'un allié awsite de la tribu, Sa'd ibn Mu'adh fut opérée envers les Banû Qurayza ayant participé à l'alliance avec les Quraychites lors du siÚge de Médine ; furent exécutés par décapitation tous les hommes juifs pubÚres des Banû Qurayza, soit entre 600 et 900 personnes.

Bismilahi Rahmani Rahimi Ô cheikhoul Khadim RTA Mame Bamba Oui sĂ©duit et charmĂ© je le suis. ÉmerveillĂ© et Ă©tonnĂ© je demeure. Quel qualificatif donnĂ© Ă  ton amour pour le maĂźtre de ta plume. Quel mesure ou dimension pour essayer de matĂ©rialiser ton amour pour le Seigneur de ton Ă©critoire. Beaucoup se sont approchĂ©s de Lui pour le servir mais Son choix s’est portĂ© sur toi Son serviteur. Je ne peux rĂ©sister Ă  ton surnom de khadim Rassoul ce grade des grades t’a grandi Ă  jamais. Ô Bamba je ne cesse de te chanter car Ă©tant sĂ©duit par ta dĂ©votion pour Lui, le propriĂ©taire de tes actions et faits. Le monde se dirige vers Toi pour pouvoir renouveler leur amour pour Lui maĂźtre de ton cƓur. Ton magal qui ne cesse de grandir et de s’enrichir n’est t’il pas la preuve des preuves que ton ami t’a vraiment honorĂ© et que ta soumission pour Lui est acceptĂ©e et validĂ©e pour Son premier fan Allah. Je peux tĂ©moigner que tes Ă©crits seront Ă  jamais le Seigneur de tout rĂ©cit et parrain de toute phrase pour Lui. Atteindre ton degrĂ© d’amour sera impossible Ă  tout cƓur. Concurrencer ta confiance infaillible Ă  Son Ă©gard sera difficile Ă  tout courage. Ainsi je m’exile auprĂšs de toi pour l’acceptation de mes modestes poĂšmes et ne cesse d’espĂ©rer que tu les valorises et les propages partout oĂč ton illustre nom est allĂ©. Mon amour pour toi Bamba RTA me vient de ton amour pour Lui ton bonheur. Alkhamdoulilahi merci Ă  celui qui a fait de moi un TalibĂš Mouride. Allahoumma sali ala Seydina Mouhammadine wassalim Ecrit par Mohamed Abdallah THIAM PrĂ©sident de la Fondation Keur Rassoul » Serviteur du prophĂšte des temps modernes Ă©ditĂ© Par la Fondation Keur Rassoul » Sala lahou Ala Seydina Mohamed PSL Aminata Diallo Je suis une amoureuse du web qui aime aller Ă  la recherche de l'information partout dans le monde. J'aime parler des People, CĂ©lĂ©britĂ©s et Buzz surtout les faits divers. Ma passion, c'est l'Ă©criture Dans ma meme carĂ©gorie

Enfait j'ai remarquĂ© que je n'ai pas suffisament rĂ©agi aprĂšs la publication des dessins blasphĂ©matoire contre le ProphĂšte, sur lui bĂ©nĂ©diction et salut . Et puisque je suis douĂ© dans la poĂ©sie, j’ai Ă©crit un poĂšme que j'ai fait lire Ă  tous mes amis musulmans et je me suis dit par la suite pourquoi ne pas le publier.
ï»żComme s’il pressentait que son heure Ă©tait proche, Grave, il ne faisait plus Ă  personne une reproche ; Il marchait en rendant aux passants leur salut ; On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu’il eĂ»t A peine vingt poils blancs Ă  sa barbe encore noire ; Il s’arrĂȘtait parfois pour voir les chameaux boire, Se souvenant du temps qu’il Ă©tait chamelier. Il semblait avoir vu l’Eden, l’ñge d’amour, Les temps antĂ©rieurs, l’ùre immĂ©moriale. Il avait le front haut, la joue impĂ©riale, Le sourcil chauve, l’oeil profond et diligent, Le cou pareil au col d’une amphore d’argent, L’;air d’un NoĂ© qui sait le secret du dĂ©luge. Si des hommes venaient le consulter, ce juge Laissait l’un affirmer, l’autre rire et nier, Ecoutait en silence et parlait le dernier. Sa bouche Ă©tait toujours en train d’une priĂšre ; Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ; Il s’occupait de lui-mĂȘme Ă  traire ses brebis ; Il s’asseyait Ă  terre et cousait ses habits. Il jeĂ»nait plus longtemps qu’autrui les jours de jeĂ»ne, Quoiqu’il perdĂźt sa force et qu’il ne fĂ»t plus jeune. A soixante-trois ans une fiĂšvre le prit. Il relut le Coran de sa main mĂȘme Ă©crit, Puis il remit au fils de SĂ©id la banniĂšre, En lui disant » Je touche Ă  mon aube derniĂšre. Il n’est pas d’autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. » Et son oeil, voilĂ© d’ombre, avait ce morne ennui D’un vieux aigle forcĂ© d’abandonner son aire. Il vint Ă  la mosquĂ©e Ă  son heure ordinaire, AppuyĂ© sur Ali le peuple le suivant ; Et l’étendard sacrĂ© se dĂ©ployait au vent. LĂ , pĂąle, il s’écria, se tournant vers la foule ; » Peuple, le jour s’éteint, l’homme passe et s’écroule ; La poussiĂšre et la nuit, c’est nous. Dieu seul est grand. Peuple je suis l’aveugle et je suis l’ignorant. Le lendemain matin, voyant l’aube arriver AboubĂškre, dit-il, je ne puis me lever, Tu vas prendre le livre et faire la priĂšre. » Et sa femme AĂŻscha se tenait en arriĂšre ; Il Ă©coutait pendant qu’AboubĂškre lisait, Et souvent Ă  voix basse achevait le verset ; Et l’on pleurait pendant qu’il priait de la sorte. Et l’ange de la mort vers le soir Ă  la porte Apparut, demandant qu’on lui permĂźt d’entrer. Qu’il entre. » On vit alors son regard s’éclairer De la mĂȘme clartĂ© qu’au jour de sa naissance ; Et l’ange lui dit Dieu dĂ©sire ta prĂ©sence. — Bien, » dit-il. Un frisson sur ses tempes courut, Un souffle ouvrit sa lĂšvre, et Mahomet mourut. »→ A LIRE AUSSI Mots Ă  la femme, miroir de vie Par Khalifa Ababacar Gaye Victor Hugo, le 15 janvier Nice, Le 7 fĂ©vrier 2015→ A LIRE AUSSI JournĂ©e de la femme MadickĂ© Niang anticipe avec un poĂšme touchant ! → A LIRE AUSSI Saccage chez le maire de Keur Massar AccusĂ© d’en ĂȘtre le cerveau, Pape Sarr rĂ©pond vidĂ©o
DĂ©cĂ©déà l’ñge de 74 ans, il reste un des champions de poids lourds le plus incontournable. Humanitaire et activiste, Ali restera Ă  jamais une des lĂ©gendes de la boxe. prĂ©sente 18 choses que vous ne saviez peut-ĂȘtre pas sur Mohamed Ali. 1/ Le vol de son vĂ©lo a motivĂ© notre champion Ă  se lancer dans la boxe. Unjour, un certain YĂ©mĂ©nite (de la tribu ZabĂźd) composa un poĂšme satirique, contre les Mecquois, parce que certains ne lui payaient pas le prix de ses ventes, et qu'aucun des autres ne lui venait en aide. Zubair, oncle et chef de la Tribu du ProphĂšte, ressentit de vifs remords Ă  cette satire justifiĂ©e.
SansgĂšne, il met son tĂ©lĂ©phone portable en marche, montrant les messages reçus Ă  l’occasion de la fĂȘte de KoritĂ©. « Lisez-les », dit-il. Le contenu du premier sms dit ceci : « Alhamdoulilahi ! Que la grĂące du ProphĂšte Mohamed (Psl) se rĂ©pande sur vous et votre famille. Que sa Sunna vous serve de guide dans la voie de Dieu qui
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un petit poĂšme sur le prophĂšte mohamed