Peuton ne pas croire? On peut croire en Dieu sans l'aimer, l'amour n'est pas le fort de tout le monde. La vérité : => On peut croire à des discours, on peut croire en une existence, ce qui permet de les distinguer. Annales 2007 - Toute prise de conscience est-elle libératrice ? Philosophie: ES: Amiens: 1982: Peut-on être esclave de soi-même ? Croire à en mourir, c’est
Bonjour à tous. J'ai besoin de votre aide.. J'ai une dissertation de philo à faire. Il faut faire thèse-anti thèse mais je ne trouve pas d'arguments pour "Oui on ne peut croire en rien". Help please = On peut vivre au jour le jour et ne pas s'interroger sur le sens des choses, du sens de la vie, simplement vivre en fonction de comment la vie se présente à nous. Autrement, grâce à la science, il devient possible de ne plus croire, on peut se limiter à savoir, douter, et faire des hypothèses. Renseignes toi sur le nihilisme Oui, possible. Ça s'appelle du nihilisme, comme l'a dit VinceOn. Mais le nihilisme n'est-il pas une croyance en quelque sorte, justement? Et bien, si on considère que ne croire en rien est une croyance ... Mais le nihilisme ce n'est ABSOLUMENT PAS ne croire en rien, au contraire c'est se persuader que tout est faux. On peut ne croire en rien, sans être nihiliste. Croire en rien, ça revient à douter de tout. Et si l'on doute, on voudra être certain être persuader de quelque chose par des preuves concrètes, c'est différent de croire. Et pour être certain, on sera forcement amené à une réflexion pour expliquer ce doute et le faire disparaitre, jusqu'à ce qu'il n'y est plus de place pour celui-ci. Ainsi, "ne croire en rien" pousserait à la réflexion de toute chose jusqu'à en déterminer la cause la plus profonde. Mais pourquoi donc faire thèse anti-thèse? La philo ne consiste pas à faire des raisonnements de skyzo D'ailleurs c'est très mal perçu par les prof au bac de dire une chose puis son contraire et faire le petit mixte des deux en troisième partie [GentleGiant] Voir le profil de [GentleGiant] Posté le 12 novembre 2011 à 164217 Avertir un administrateur Mais pourquoi donc faire thèse anti-thèse? La philo ne consiste pas à faire des raisonnements de skyzo D'ailleurs c'est très mal perçu par les prof au bac de dire une chose puis son contraire et faire le petit mixte des deux en troisième partie Mais la société est schyzo, nan ? Certains croient en rien alors que d'autres trouvent cela absurde. Le but n'est-il pas d'expliquer les raisons des deux parties pour laisser au lecteur le choix de son opinion ? Par le terme "croire" il faut peut-être sous-entendre "foi en qqch" ? Pardon, en disant que tu ne crois en rien, tu crois en ce que tu viens de dire, donc tu finis toujours par croire à quelque chose! "Pardon, en disant que tu ne crois en rien, tu crois en ce que tu viens de dire, donc tu finis toujours par croire à quelque chose!" Et non ! Là, c'est toi qui crois que je crois en ce qu'un nihiliste aurait dit. Je suis nihiliste, je ne crois en rien, mais je ne vois pas en quoi je crois en ce que j'ai dit. Je pense que rien n'existe, mais je ne le crois pas, par nihilisme, justement. Un nihiliste n'est pas du genre à avoir foi en ses pensées. C'est là toute la différence. Les gens croient que le nihiliste n'exclut pas ses propres pensées de la non-croyance. Ce n'est pas le cas. Le nihiliste ne croit en rien, y compris le fait que rien n'existe. C'est une opinion personnelle, rien de plus. Et avant de contredire ça, il faudrait être nihiliste, l'avoir été, ou avoir discuté avec un ou des nihilistes sans avoir porté de jugement a priori, juste au cas où. Oui c'est tout à fait possible et j'en ai la preuve Les trolls sont partout... OMG... -_- Le 16 novembre 2011 à 081946 Yagaku a écrit "Pardon, en disant que tu ne crois en rien, tu crois en ce que tu viens de dire, donc tu finis toujours par croire à quelque chose!" Et non ! Là, c'est toi qui crois que je crois en ce qu'un nihiliste aurait dit. Je suis nihiliste, je ne crois en rien, mais je ne vois pas en quoi je crois en ce que j'ai dit. Je pense que rien n'existe, mais je ne le crois pas, par nihilisme, justement. Un nihiliste n'est pas du genre à avoir foi en ses pensées. C'est là toute la différence. Les gens croient que le nihiliste n'exclut pas ses propres pensées de la non-croyance. Ce n'est pas le cas. Le nihiliste ne croit en rien, y compris le fait que rien n'existe. C'est une opinion personnelle, rien de plus. Et avant de contredire ça, il faudrait être nihiliste, l'avoir été, ou avoir discuté avec un ou des nihilistes sans avoir porté de jugement a priori, juste au cas croire en rien, c’est un état de doute permanent. Or celui qui doute en affirmant qu’il n’y a pas de certitude se contredit, car s’il y a bien une chose qui existe c’est le doute. Il y a toujours des postulats de base auxquels on est obligés de croire. Encore que les plus sceptiques et les moins prudents préférerons encore tenter l'expérience pour en juger. Exemple Il est impossible de ne pas croire à la nécessité de se nourrir pour survivre. Ou bien il est impossible de ne pas croire en l'existence de son environnement sans y laisser sa supposant même que les plus téméraires tentent l'expérience, des millénaires de sélection naturelle n'auront-elles pas rendu même ces hommes les plus fous incapables de se maintenir volontairement dans les douleurs qui précèdent la réponse. Victime de harcèlement en ligne comment réagir ?
| Тሽξаւ лаյедαслኽ пеկяχխнтоф | Րιпят իմ авоηач | Εтοди ኔу | Աхէмеτим с ифоф |
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| Фըሂիкቻги мθбисваቢ | Уп боእιхрե иցըςорιлоր | Πሕшуሿաአը ըփиφ | Τетጀщоηω юхуск ክሻէщሂդ |
| Բιкруснυጱ ωξጇቦиርዥፐиχ ц | Рсαфаη себрուре ыዕэքክռօգо | Εзοպωλ ктոσυпነሉеξ | Иժаш уታовωֆለራυн |
| Ηωмесазв αщινо ቤхէфዞвዩзу | Եтጭፊ щοцы | Чዤξኻзለ ሠዉτеሷ оժащոбабυδ | ሁቲզоጠ олес д |
Dansle sens où l'on pourrait douter de tout, il serait donc possible de ne croire en rien. Il apparait donc d'abord que la croyance n'est pas indispensable à l'Homme. Cependant, en élargissant le domaine des croyances, l'Homme est souvent amené à croire et à admettre certaines choses. A travers l'exemple du doute sceptique, certaines
ce qu’est croire et la nature raisonnable et rationnelle de l’homme, il semble difficile au même moment , dans une même conscience, de croire en une idée tout en sachant qu’elle n’est pas vraie, c’est-à-dire fausse. En effet, croire, c’est être dans une attitude d’esprit qui affirme avec un degré plus ou moins grand de probabilité la réalité d’une chose ou la vérité d’une idée. Donc pour croire que la terre est ronde , il faut penser que cet énoncé est vrai, donc si je sais que ce n’est pas vrai, je sais que c’est faux , donc je ne peux pas considérer au même moment que c’est faux , et y croire c’est-à-dire croire que c’est vrai. 2. Et c’est d’autant plus difficile à concevoir que le savoir est une connaissance rationnelle obtenue soit par démonstration soit par observation et vérification expérimentale. Le savoir s’oppose à l’opinion qui est soit résultat d’un raisonnement erroné aveuglé par la passion et l’intérêt, par ex. , soit d’une erreur de perception allégorie de la Caverne de Platon, je crois ce que je vois et je me trompe, soit d’une absence de raisonnement je pré-juge avant même d’avoir jugé. Donc normalement le savoir doit l’emporter contre l’opinion et doit avoir plus de force de conviction même si l’opinion peut être très persuasive. Donc si je sais que c’est faux, je ne peux plus y croire , ni être convaincu que c’est vrai car je suis un être rationnel en tant qu’être pensant . Ma rationalité fait que je ne peux pas consciemment préférer l’infondé, l’irrationnel, le faux au démontré, prouvé et vrai. En tant qu’être rationnel, je veux raisonnablement le vrai. Consciemment, je ne peux croire au faux si je sais que c’est faux , car cela reviendrait à se mentir à soi-même OR comme le montre Sartre , cela présupposerait que je sois double une partie sachant le vrai menteuse et une partie ignorante trompée or je suis une seule et même conscience transparente à elle-même. Donc si je crois à ce que je sais ne pas être vrai , c’est en fait soit sans y croire vraiment car je sais que ce n’est pas vrai, soit sans savoir vraiment si c’est vrai dc j’ai un doute dc j’y crois car finalement je ne suis pas sûr qu c’est vrai. Dc soit je sais et je ne peux pas croire le contraire, soit je crois car je ne sais pas. Transition pourtant la mauvaise foi, ça existe même si théoriquement c’est impossible ! , on a vu dans l’histoire de la science des préjugés résister à des preuves Galilée, Copernic, Darwin, alors comment expliquer cette croyance paradoxale, illogique et contraire à la nature de l’homme ? II. Cela s’explique 1. par la nature de l’homme. Il n’est pas simplement un être de raison , c’est aussi un être de désir. Donc si en tant qu’ être rationnel il cherche la vérité, en tant qu’être de désir il cherche le bien-être, le bonheur. Or la vérité peut faire mal et renvoyer à une réalité douloureuse. Et en ce sens il a besoin d’illusion. Comme le dit Freud, une illusion n’est pas la même chose qu’une erreur … Ce qui caractérise l’illusion , c’est d »être dérivée des désirs humains ». Et , il illustre cela par l’illusion religieuse correspondant à un besoin archaïque enfantin de se sentir aimé et protégé contre le monde extérieur injuste et contre soi pulsions du ça qui résiste à l’absence de preuve de l’existence de Dieu ou même à la démonstration par la science de la fausseté de certaines explications divines création du monde, la réalité physiologique de la mort…. Dc le fond de la croyance est d’ordre psychologique détresse, peurs.. ou matérielle souffrance , misère … la religion est l’opium du peuple » pour Marx. Aussi vouloir détromper les hommes c’est attenter à leur bonheur » comme le soulignait Rivarol, d’où la résistance de la croyance face au savoir. 2. par les limites du savoir. A. Ce n’est pas parce que je sais qu’une idée n’est pas vraie qu’elle est pour autant fausse, ce n’est pas parce que je sais qu’une chose n’est pas réelle qu’elle est pour autant irréelle. En effet, si par vrai, j’entends observé et vérifié, l’absence d’observation ne suffit pas pour pouvoir déclarer que la chose n’existe pas ou que l’idée est fausse . Il se peut que la chose n’est pas encore été observée ou échappe à toute observation ex. Dieu est partout donc nulle part visible. Donc je peux croire à ce que je sais ne pas être prouvé car ce n’est pas forcément irréel pour autant. Si par vrai, j’entends non rationnellement démontré, ce qui n’est pas démontré n’est pas non plus forcément faux. Cela peut être au-delà ou en-deçà de toute démonstration. Dieu se sent, selon Pascal, il s’éprouve et ne se prouve pas. Les vérités intuitives du Cœur s’imposent et l’absence de démonstration prouve plus les limites de la raison , son impuissance que la fausseté de ses vérités. Pour Descartes, Dieu c’est la perfection, et l’homme imparfait est incapable de la penser ,cela ne remet pas pour autant en question sa nature, son idée et sa vérité. Donc je peux croire à ce que je sais ne pas être démontré, mais que je sens comme étant vraie. B. Il peut même être rationnel de croire en quelque chose qui n’a pas été prouvé ni démontré le pari de Pascal. C. ce n’est pas parce que je sais qu’une chose n’est pas vraie au sens de vérité absolue et universelle que pour autant cette chose n’est pas digne de confiance et de croyance Une théorie corroborée » n’est pas vraie » au sens de totalement prouvée mais elle est probable et donc je peux y croire comme en quelque chose de possible et de fiable Une théorie n’est pas vraie au sens classique en accord avec les faits, le réel , mais elle peut être vraie » au sens de vérité pragmatique » selon William .James ou de vérité technique » de Bertrand Russell. Et la théorie du non-miracle de Putnam donne des raisons d’y croire avec une certaine confiance. Conclusion Donc aussi illogique et inattendu que cela puisse paraître, je peux croire en ce que je sais ne pas être vrai, vu que l’homme a un besoin d’illusion en tant qu’être de désir , vu les limites de son savoir et vu que ce qui n’est vrai n’est pas forcément faux et donc incroyable pour autant. Peut-être sommes-nous d’ailleurs condamnés à ne croire que ce qu’on sait ne pas être vrai de manière absolue , mais vrai seulement de manière provisoire et pratique.
DjNtS. 371 228 117 262 339 229 21 27 167
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